Très rare…mix à partir de 2 épreuves post 1887 et 2018 (moins rare)

« Mar-Vivo, l’un des sites les plus incomparablement beaux du littoral… »

On retrouve dans le journal local les « Echos de Tamaris » de 1892, sous la plume de son directeur Paul Coffinières des traces de ce débat : 

« Le ruban de sable qui unit la presqu’île de Saint-Mandrier au cap Sicié, pointe extrême de la France méridionale dans la Méditerranée, ferme la baie de Mar-Vivo, l’un des sites les plus incomparablement beaux du littoral.

Cet isthme en miniature est, sans contredit, une des curiosités les plus originales de cette succession de montagnes, collines et promontoires si pittoresquement dentelés, qui entoure d’une ceinture aussi variée que grandiose, la magnifique rade de Toulon.

Aussi les populations riveraines se préoccupent constamment des modifications que le temps et les empiétements de la mer pourraient faire subir à cette bande de sol menacé, qui, n’ayant extérieurement que 200 mètres de large, s’étend en réalité sous les eaux à de très grandes distances du côté de la mer libre et dans le golfe du Lazaret ». 

Il y avait bien un ponton à Mar Vivo où s’amarraient des bateaux de pêche et d’où plongeaient les baigneurs. Par ailleurs les Maristes y pratiquaient des activités nautiques…
Mar Vivo 1946 : La cabane en bambou.
Merci ‎Corinne Zanna Vigouroux‎
Dédée V : c’était un bar en hauteur qui se situait juste après ce que l’on appelle maintenant le Poséidon et le ruisseau ! que de souvenirs !! et pas mal fréquenté
Dédée V : nous en avions fait un dancing !! il se situait après l’allée Marie !

Michèle G : « A la cabane bambou, bambou » chantait Félix Mayol … nom donné à ce bar pour indiquer un lieu de « divertissements »… j’imagine 😉
Claude G : Au comptoir , il me semble que c »était Thérésio .
Corinne Zanna VigourouxTout à fait, c était mon oncle.

Voir l’article à propos de cette photo* ici

Guy B. : « Bonjour j’ai 85 ans de la Seyne nous sommes arrivés a Mar Vivo en 45 car sinistrés on nous avait attribué sur réquisition la villa  » Lou Pantai  » chemin des Sablettes a 50 mètres de la plage , notre terrain de jeux en dehors des blockhaus , de la chasse aux armes et casques abandonnés c’était les ruines des Flots Bleus je me souviens des deux premiers gérants qui ont ouvert une buvette dans ces ruines nous les appelions les deux Pierre , sont venus ensuite Babet et Georges . Il y avait a l’ancre deux ou trois pointus , l’un à mon oncle André Laudon ( dit Cardaline ) et un autre à la famille Ozio , à cette époque la plage était encore relativement large sauf l’hiver où les vagues venaient frapper sur les murs des Flots Bleus » .

La Seyne en 1900 : En fait, d’après l’histoire du bikini en France, il semblerait que cette photo date au plus tôt de 1956. « Dès son apparition sur les plages, en 1949, le bikini est interdit par la loi : en Espagne, Italie et France, c’est la chasse aux sorcières ! En 1951, sous un flot d’injures, le journal du Vatican Osservatore Romano annonce que les chevaliers de l’Apocalypse apparaitront sans doute en bikini. Les communistes disent que le bikini, en tant que marque de la bourgeoisie, attise la lutte des classes, le bikini coûtant un tiers du salaire d’une dactylographe « .(Patrick Alac, La Grande Histoire du bikini, éd. Parkstone)

Victor Protais le peintre de Mar Vivo : http://www.laseyneen1900.fr/2021/02/03/victor-protais-girard-1870-1905/*

Le casino de Mar-Vivo*

Le château de Mar-Vivo*

10 comments

  1. Je me souviens encore de mon premier slow dansé sur ‘It’s now or never » d’Elvis Presley lors d’une boum dans un sous-sol qui donnait sur la plage de Mar-Vivo organisé par un certain Pioche je crois.
    Un souvenir inoubliable puisque 60 ans après je m’en souviens encore.

    1. Votre premier slow vous avez du le danser dans le sous sols des « Flots Bleus  » il y avait également a Mar ViVo au bout du chemin des Sablettes un dancing qui s’appelait  » La Vague  » et a St Elme le  » Tamtam  » . sur l’une des photos on voit , toute seule , la Villa de Maitre Olivier Notaire a la Seyne , c’était dans mon enfance pratiquement la seule construction entre Mar Vivo , la Vernette et la Verne

      1. Bonjour
        Mon père travaillait à la cabane de bambou pendant l’été 1959. Il s’appellait Ezio et était un jeune étudiant italien. Est-ce que quelqu’un se souvient de lui ?
        Merci

  2. bonjour Guy B. J’ai 79 ans et malgré mon jeune age a ton époque, nous avons peut-être joués ensemble sur les ruines des flots-bleu????amicalement

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