Résumé de l’article :

1- Vers 1745 probablement une petite chapelle pour les pêcheurs est érigée près du rivage des Mouissèques.

2- Elle est dite « chapelle des morts » dans la première moitié du XIXème siècle*.

3- Elle est décrite en ruine vers 1840.

4- Début XXème ne subsiste que le terrain « de la chapelle des morts » qui sera vendu aux chantiers seynois le 6 septembre 1906.

5- Immédiatement commencés, les travaux de creusement mirent à jour « une certaine quantité d’ossements humains » qui seront transférés au cimetière.

6- Or le site est dominé par le fort Caire dont la prise par Bonaparte ( le 16 décembre 1793, 26 frimaire an II, fort renommé Mulgrave ) coûta la vie à des milliers de soldats des deux bords qu’il a bien fallu probablement enterrer rapidement et très vraisemblablement sur le champ de bataille ou à proximité. (En lieu et place, le fort Napoléon, nouvel ouvrage militaire construit sur ordre de Napoléon en 1811 fut achevé en 1821).

7- Le 17 janvier 1907 démarrait le chantier de l’atelier des turbines; c’en était fini du terrain de la chapelle des morts…

*Si l’on s’en tient à la définition : « La chapelle des morts est un petit édifice que l’on construisait au moyen âge au centre des charniers ou des cimetières et qui se réduisait parfois à un simple dais de pierre supporté par des colonnettes et abritant un autel. »Sauf qu’ici la chapelle a existé dans la première moitié du XIXe… et qu’à ma connaissance nous n’avons rien d’écrit la concernant pendant son existence…sauf dans ces deux textes trouvés en 2023 datant de 1861 dans Le Propagateur de la Méditerranée et du Var: revue mensuelle (Université du Michigan) et surtout 1838 dans un extrait de la II° partie des « Promenades dans Toulon ancien et moderne »(voir en fin d’article).

Le terme « terrain de La Chapelle des morts » est employé jusqu’à sa vente par la ville aux F&C en 1906…

Postérieurement à 1906, le petit port-abri à gauche et l’atelier des chaudières sur la droite

« 1745 – Chapelle de Mouissèque : Une petite chapelle est érigée pour les pêcheurs du quartier au lieu dit « Mouissèque », à l’endroit proche du petit port-abri où, beaucoup plus tard, vers 1906, sera édifié le grand atelier des turbines des Forges et Chantiers. Ce modeste sanctuaire, aujourd’hui disparu, fut baptisé plus tard « la chapelle des Morts » parce que des ossements humains auraient été trouvés lors des travaux effectués auprès de la chapelle ruinée ; ossements provenant selon les uns de victimes d’épidémies, selon les autres de soldats enterrés là lors du siège de 1793. Il n’y a aucune certitude à ce sujet ».

HISTOIRE DE LA SEYNE Chapitre XXVI Louis Baudoin. (1965)

NDLR : Nous n’avons pas connaissance de travaux de creusement antérieurement à l’édification de la structure métallique de l’atelier des turbines. Or cette parcelle avait été vendue aux F&C en tant que « Terrain de la Chapelle des morts » (voir l’Affaire de cette transaction dans l’article sur « L’acquisition du terrain de l’atelier mécanique »*)…

Le port-abri des Mouissèques

En fait en 1906 le terrain en question n’abritait plus aucune chapelle « ruinée » et il était déjà répertorié de longue date « terrain de La Chapelle des Morts ». 

A l’époque, la découverte d’ossements en ce lieu lors des travaux de creusement en question ne fit que confirmer sa sinistre réputation… 

Sources : La République du Var, Le Petit Var (1906 /1907)

On retrouve sur de rares cartes relatant le Siège de Toulon en 1707 (pendant la guerre de Succession d’Espagne) ou bien celui de 1793 (pendant les guerres de la Révolution française) l’emplacement notifié de la Chapelle des Morts, mais ces cartes furent établies un ou deux siècles plus tard et de manière totalement anachronique (1891). Elles apportent au moins la preuve que le site qui nous intéresse était déjà connu comme Chapelle des Morts avant 1906.


*Cette carte, visible sur Gallica.fr, établie en 1891 par l’agent-voyer Edmond Théodore Balthazar Millou (né en 1839) chargé des biens communaux notamment en Algérie, porte sur le siège de Toulon de 1707. 
Elle apporte au moins la preuve que le site qui nous intéresse était déjà connu comme Chapelle des Morts avant 1906.

Carte établie en 1891
Anachronisme encore pour cette carte sur le siège de 1793 de Pierre Vieillefosse (1977)
La chapelle des morts n’est pas mentionnée sur la carte originale de Charles-Marin Boullement de La Chesnaye « Carte des environs de Toulon pour le siège de Toulon en 1793 »

La chapelle des Morts était déjà signalée (en ruine) vers 1840 :

Pour la géolocalisation de la Chapelle des morts voir :

http://www.laseyneen1900.fr/2021/04/30/localisation-de-la-chapelle-des-morts/*

Non, ce n’est pas grâce au dernier bornage des portables de ces milliers de soldats qui se sont entretués dans la nuit du 16 au 17 décembre 1792 au Fort Caire, mais par un autre système de triangulation n’utilisant pas les cartes SIM (fort peu répandues à l’époque d’après les historiens) que l’on peut localiser ce site… C’est par la géodésie, cette science basée sur des méthodes trigonométriques et astronomiques, … Lire la suite de

En 1840 ne subsistaient déjà que les ruines de cette chapelle*, mais le terrain sur lequel elle avait été érigée (1745 serait une date plausible) avait gardé cette appellation jusqu’à son rachat par la Société Anonyme des Forges et Chantiers le 14 novembre 1906 afin d’y implanter l’Atelier des Turbines (pour l’ajustage et le montage des pièces devant équiper les navires) qui deviendra l’Atelier mécanique dont les vestiges sont actuellement encore visibles…

* … »Rembarquons-nous, portons le cap au sud ouest, passons rapidement devant les ruines de la chapelle des morts… » Toulon, 27 décembre 1840.

« Promenades  dans Toulon ancien et moderne dédiées aux Toulonnais » par Henri Vienne , archiviste de la Ville (1771-1862). 

1851 La chapelle est dite ruinée
Plan du port de Toulon (Gauttier)

De même notre ami Paulin Gros le négociant en huiles de la rue séminaire (future rue Etienne Prat) (Voir Paulin Gros (1825-1905)*) n’obtint pas la concession d’une huitrière qu’il prévoyait à l’ouest du parc « de la chapelle des morts » (en 1861/62).

Revue maritime et coloniale
Ministère de la Marine
Librairie militaire de L. Baudoin
Sur la gauche, le petit port-abri et en haut à droite l’atelier des chaudières…
Au premier plan le petit port-abri…

Il est dit que Marius Michel, qui envisageait l’assèchement de la lagune des Mouissèques toujours marécageuse, pour aider à l’extension de la construction navale, accepta de céder aux Forges ce terrain acquis antérieurement.

« En 1895 l’entreprise des F&C avait déjà acheté à Michel Pacha le terrain où fut construite l’usine des chaudières marines ».

(Source : Les chantiers de constructions navales de La Seyne Jean-B. Gaignebet : Revue de Géographie Alpine)

« En 1895, est créé sur un terrain de 40 800 m² acheté à Marius Michel, l’atelier des chaudières, auparavant construites à Marseille Menpenti « .(Henri Ribot)

 

 

http://www.laseyneen1900.fr/2021/05/08/la-vente-du-terrain-de-la-chapelle-des-morts/*

Nb 1 : Aucun lien n’est retrouvé avec le couvent de la Présentation édifié sur une campagne voisine acquise par procès-verbal en 1857. C’est en 1858 que les religieuses de Notre Dame de la Présentation s’installent dans le quartier des Mouïssèques et ouvrent dans leur couvent une école de filles*. (Source : Sex Furni Terre chrétienne Terre d’accueil)

Les bâtiments ce cet établissement comprenaient une chapelle, des dortoirs, des classes, réfectoires, offices, communs et dépendances, un grand jardin d’agrément, avec potager pour la promenade des sœurs et les récréations des pensionnaires. (1858-1904)

« Ce furent les lois de 1901-1902 qui ouvrirent le chemin de l’exil à nos religieuses de la Présentation ». (Louis Baudoin).

La communauté partit s’établir à Vintimille.

Rade de Toulon – Service hydrographique de la Marine Paris – Publication 1902 –
Carte dressée d’après les levés effectués par le Service hydrographique de la Marine
de 1896 à 1959

Nb 2 : « Le quartier (du Bois sacré) est éloigné de la ville de La Seyne, ainsi que des quartiers : Sablettes, Mar-Vivo, Fabrégas, Saint-Mandrier. Lors des épidémies aux siècles passés, les fossoyeurs y creusaient des fosses communes et y déversaient les tombereaux de cadavres. De la chaux vive par-dessus. Le tout recouvert avec la terre du creusement. Les bois servaient de cimetière pour les morts des épidémies. Il fallait penser à la contagion, l’hygiène et les remèdes de notre époque n’existaient pas. Ces bois devinrent les « Bois Sacrés » à la pensée des pauvres cadavres enterrés en ces lieux. « Je tiens ces renseignements de ma tante décédée depuis quelques années. L’histoire est transmise dans les générations. Mon arrière-grand-mère, morte lors de la dernière épidémie de choléra, fut ensevelie de la sorte ». (source: MD sur le forum de JC Autran).

Une hypothèse vraisemblable (sans qu’aucune preuve ne vienne l’étayer) est celle d’un charnier datant du siège de Toulon en 1793 ( qui aura duré trois mois et demi)  qui a opposé jusqu’à 32 000 français et 22 000 coalisés, causant respectivement 2000 morts côté français et 4 000 côté coalisé dont  un grand nombre pour la seule bataille du Fort du Caire à La Seyne.

http://www.laseyneen1900.fr/2020/10/10/buonaparte-a-lassaut-de-la-redoute-mulgrave-1793/*

Cette thèse aurait pu être corroborée par le fait qu’en avril 2019 des travaux menés sur le réseau d’assainissement de la corniche ont mis à jour quelques squelettes d’hommes jeunes enfouis sans sépulture et sans aucune trace de chaux comme cela se pratiquait lors des épidémies.

Grâce à la prise du fort Mulgrave sur la colline du Caire, une redoute en terre et en bois, le « Capitaine Canon » Napoléone Buonaparte qui avait préalablement fait installer cinq batteries à des endroits stratégiques (pour interdire toute intervention de la flotte coalisée en réaction à son offensive) réussit à faire tomber le Petit Gibraltar, le dispositif ennemi comprenant le fort Mulgrave et ses redoutes avancées sur la rade. 

« Cette victoire de La Seyne, dont les résultats devaient se révéler si considérables, coûta environ onze cents hommes aux troupes françaises et près de deux mille cinq cents aux alliés, en tués, blessés et prisonniers ». (Louis Baudoin)

Le 24 décembre 1793 le général en chef Dugommier rend compte de la situation locale au comité de salut public en ces termes : …« Une foule de cadavres, que la mer rend au rivage, attestent encore la précipitation avec laquelle ils (les coalisés) ont fui les armées républicaines… » (Archives du ministère de la guerre Revue Historique T. 30, Fasc. 2 (1886), p 336)

On imagine aisément la débandade des survivants des troupes coalisées, délogés de leurs redoutes et fuyant vers les rivages proches sous les feux des canons de Mulgrave retournés contre les forts de l’Eguillette et de Balaguier, et le massacre qui s’en suivit…Tous ces cadavres des deux camps n’ont pu qu’avoir été enterrés sur place ou à proximité, à la va-vite et bien sûr sans sépultures…et probablement sur le terrain où se trouvait cette petite chapelle ancienne que désormais les seynois appelleraient la chapelle des morts…

et où un siècle plus tard s’élèvera l’atelier des turbines…

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Mathieu Dalaine (var-matin du 30 décembre 2020) remet le couvert sur la chapelle des morts à propos des fouilles organisées en 2019 par la société Mosaïques Archéologie à la lisière du terrain de l’atelier mécanique, anciennement « terrain de la Chapelle des morts » acquis par les F&C le 6 septembre 1906 pour y construire l’atelier des turbines.

Un petit charnier de pestiférés fut exhumé lors de ces fouilles (31 squelettes) daté d’un siècle avant la grande peste marseillaise de 1720. On peut penser que le lieu fut choisi en raison de son éloignement du « hameau de Seine » ainsi que par son caractère insalubre « mi-mouillé mi-sec ». (Michel Pacha achètera et assainira tout le littoral jusqu’au Lazaret 200 ans plus tard).

Depuis l’origine quartier de pêcheurs, il est possible qu’une chapelle y ait été construite dédiée aux morts en mer (les monuments « ai caduti del mare » de nos voisins transalpins) au milieu du XVIllème siècle, ou aussi (et c’est mon hypothèse) qu’elle ait pris ce nom suite au massacre de la bataille du fort Caire (l’actuel fort Napoléon) en 1793, car des milliers (un chiffre autour de 4000 environ) de soldats y laissèrent leur vie, non loin de ce terrain qui abrita une chapelle, dite « des morts » par les seynois, chapelle en ruine vers 1840, mais qui garda cette appellation jusqu’au début du XXème siècle, c.à.d jusqu’à l’implantation de l’atelier dont nous connaissons les vestiges aujourd’hui…Le mystère reste entier concernant l’existence d’un gigantesque charnier sur le site même de l’ancienne chapelle, géolocalisable grâce à des relevés effectués par un ingénieur hydrographe de la Marine vers 1840. Voir :

http://www.laseyneen1900.fr/…/10/06/la-chapelle-des-morts/*

http://www.laseyneen1900.fr/2020/10/31/le-bois-sacre/*

Peut-être à l’occasion d’une nouvelle vie offerte à cet ancien monument industriel pourra-t-on lever ce voile, ou plutôt ce linceul…?

1838

« Les habitans de la Seyne ne furent cependant point épargnés par la peste qui désola plusieurs fois la Provence pendant le cours du dix-septième siècle; ce fut à l’issue d’une de ces invasions, qu’a été bâtie la chapelle des morts sur le terrain où furent inhumés les cadavres des pestiférés que le cimetière ordinaire ne pouvait plus contenir. De 1720 à 1721, ce cruel fléau fit à la Seyne de plus grands ravages. Un homme instruit, digne de foi, ancien du pays, atteste encore aujourd’hui, qu’il tient de son grand père, échappé comme par miracle à la contagion, quoi qu’en ayant été attaqué, que les deux tiers de la population ont succombé; d’après son dire, on doit être surpris de ne pas voir figurer le nom de la Seyne sur le tableau des villes et lieux de Provence, attaqués de la contagion en 1720, que l’Abbé Papon a inséré dans le quatrième volume de son histoire générale de la Provence. Serait-ce parce que le fléau aurait éclaté dans cette commune plus tard qu’ailleurs, ou aurait-il conclu qu’il n’y a pas pénétré, de ce que les commissaires délégués par les Procureurs du pays, pour subvenir au soulagement des Toulonnais y ont séjourné à différentes reprises, ainsi que l’Intendant et le Commandant de la province qui s’y sont également rendus pour s’assurer par eux-mêmes de l’exécution de leurs ordres? Il n’en est pas moins vrai qu’abandonnée de ses magistrats, dont le chef par un égoïsme épouvantable avait emmené et enfermé avec lui dans une bastide éloignée la seule Sage Femme domiciliée dans le pays, parce que son épouse était enceinte, ce qui fut cause de la mort de plusieurs autres femmes et de leur fruit, la Seyne a souffert à cette époque autant et plus en proportion que la ville de Toulon. Tous les R. R. P. P. Capucins au nombre de douze, et d’autres ecclésiastiques moururent victimes de leur zèle et de leur charité; l’église paroissiale est restée fermée pendant plus d’une année faute de prêtres pour célébrer l’office divin ».

COMPTE-RENDU DES TRAVAUX DE LA SOCIÉTÉ des Sciences , Belles-Lettres et Arts DE TOULON PENDANT L’ANNÉE 1838, PAR AUGUSTE BURLES , Secrétaire ordinaire de la Société. (« extrait de la II partie encore inédite des Promenades dans Toulon ancien et moderne ».)

1861

« Sur le bord de la mer, à peu de distance de la Seyne, à l’est du quartier de Mouissèque, on remarquait autrefois les ruines d’une chapelle, dite des Morts, qui comptait cent et quelques années depuis sa fondation; elle fut bâtie lors de la peste qui ravagea Marseille, Toulon et ses environs. La Seyne ne fut point exempte du fléau, à cause de la fréquentation des marins des navires de commerce. Cette terrible maladie, à la fois contagieuse et épidémique, y fit de nombreuses victimes. L’administration des forges et des chantiers de la Méditerranée ayant fait acquisition de ce terrain, en vertu d’un échange avec la commune, y a fait élever une petite tour gothique qui en fait l’ornement.

Dans l’enceinte de la chapelle, il a été trouvé, à la profondeur d’un mètre soixante centimètres, un bénitier dont le pied et la coquille sont en marbre blanc; au-dessous une plaque carrée de soixante-dix centimètres de largeur et plusieurs morceaux de la même qualité de marbre, où sont sculptées en relief des branches de laurier symétriquement placées; ensuite une colombe portant dans son bec un rameau d’olivier, un soleil et des étoiles, ainsi que la base d’une lampe en fer et un morceau d’une épée rongée et dévorée par l’oxyde; plus bas des ossements humains, un squelette paraissant avoir été un militaire.

A l’ouest, dans ce vaste terrain divisé en partie en prairies, il existait jadis des maisons plus anciennes que la Seyne, qui servaient pour la teinture des étoffes précieuses obtenue au moyen des cétacés univalves que l’on pêchait dans la rade de Toulon.

Toujours sur ce même terrain existe Saint-Jean-le-Vieux; on y voyait encore, il y a quelque temps, les ruines d’un couvent de Templiers; des recherches faites dans ces ruines ont attesté leur séjour dans ces lieux.« 

Le Propagateur de la Méditerranée et du Var: revue mensuelle …1861 (Université du Michigan)

La Seyne : « Une plage et des habitations »… (Archives du Var)
Pourquoi pas une modeste chapelle de pêcheurs en bordure d’une petite anse sur un terrain tantôt mouillé tantôt sec selon le temps, avec en fond un petit chantier de construction navale qui ne demande qu’à s’agrandir…

Voir aussi « Les secrets du Bois Sacré » :

http://www.laseyneen1900.fr/2020/10/31/le-bois-sacre/*

Sources :

-La République du Var, Le Petit Var (1906 /1907)

-Histoire de La Seyne  Louis Baudoin. (1965)

-Gallica.fr

-Promenades  dans Toulon ancien et moderne dédiées aux Toulonnais par Henri Vienne , archiviste de la Ville (1771-1862). 

COMPTE-RENDU DES TRAVAUX DE LA SOCIÉTÉ des Sciences , Belles-Lettres et Arts DE TOULON PENDANT L’ANNÉE 1838, PAR AUGUSTE BURLES , Secrétaire ordinaire de la Société. (extrait de la II partie encore inédite des Promenades dans Toulon ancien et moderne.)

-Archives du Var

-Les chantiers de constructions navales de La Seyne Jean-B. Gaignebet Revue de Géographie Alpine 

-Exposé des opérations géodésiques relatives aux travaux hydrographiques exécutées de 1839 à 1842 sur les côtes méridionales de France de Pierre Bégat Ingénieur-hydrographe de la Marine (1800-1882)

-Actes du colloque Michel Pacha 2007 par Jacques Phobie

-Forum de Jean-Claude Autran

-Le Littré (1880)

-Manuscrit Honoré Besson

-Sex Furni Terre chrétienne Terre d’accueil

-napopedia.fr

Le Propagateur de la Méditerranée et du Var: revue mensuelle …1861 (Université du Michigan)

Mise en forme PdP pour La Seyne en 1900